Jean-Luc Monteagudo
Spécialiste webmarketing – Growth hacker – Instagram et Facebook Business
Spécialiste webmarketing – Growth hacker – Instagram et Facebook Business
« J’ai redoublé ma 3ème, ensuite je suis rentré dans la vie active comme électricien, j’ai ensuite repris un BEP électrotechnique. C’est à ce moment-là, que j’ai compris, que ce n’était pas ma voix…
J’ai donc commencé un BEP vente suivi d’un Bac professionnel commerce, d’un DUT Techniques de Commercialisation (Bac +2) et enfin j’ai fait la licence professionnelle E-commerce (BAC +3). J’ai aussi passé les certifications et diplômes de Google. »
Hello 🙂
Je travaille essentiellement sur les plateformes web, pour résumer, je suis formateur en ligne et en consultant en webmarketing, growth hacking et stratégie marketing.
J’étais un mauvais salarié, je n’étais pas fait pour être salarié, je suis entrepreneur par défaut. C’était la seule voix qui était possible pour moi.
La persévérance, la remise en question permanente, l’apprentissage, la formation et la mise en application.
Commençons par définir le terme, le growth hacking a toujours existé sans même qu’on le sache. Pour faire simple, c’est utiliser un outil mais de manière biaisé dans le but de faire croître son projet avec un minimum de ressources économiques.
Ex : Google pour la plupart des gens est utilisé pour faire des recherches alors que moi je vais l’utiliser pour récupérer des datas.
Donc, faire appel à un growth hacker sert à se différencier totalement de la concurrence. Cela permet surtout d’avoir une nouvelle source de revenus ou de trafic, différente des autres qui apporte une réelle plus-value.
Ça a toujours existé, c’est assimilé au marketing, mais c’est un moyen de biaiser tout ce que l’on souhaite et de vendre.
Oui, cela a suscité des différents avec mon entourage (famille, relation amoureuse et amis). Beaucoup m’ont tourné le dos, par jalousie, certains me traitaient même de menteur, car ils pensaient impossible de vivre aussi confortablement du webmarketing.
Autres difficultés que j’ai surmontées, le conditionnement qu’on nous a ancré depuis tout petit (faire des études, de préférence un master et ensuite être un salarié). A l’école, on ne nous apprend jamais à être un entrepreneur. Et enfin savoir faire face à l’échec.
Cela dépend de la cible (particulier ou professionnel) d’un sens général ces formations sont faites pour apprendre à amener du trafic ciblé et bien qualifié.
Ensuite de proposer une offre qui solutionne ces réels besoins ; convertir et optimisé au maximum le panier moyen.
Un particulier va y voir un moyen d’acquérir une indépendance financière.
Un professionnel va y trouver un moyen d’augmenter son CA.
J’ai regardé mon environnement et j’ai pris conscience que je devais essayer, si d’autres avaient réussi avant moi, je pouvais également réussir.
Ce moyen est très efficace.
Que ce soit de façon organique, avec la publication de posts réguliers (community management) ou par le biais d’achat d’espaces publicitaires.
Il est nécessaire de calculer le rendement : du travail fourni et les retours engendrés.
Mais je n’utilise pas que les réseaux sociaux, j’exploite les moteurs de recherche, les blogs. Je favorise Google et YouTube.
En fonction du résultat que je souhaite, je choisi une plateforme différente, pour l’intention j’utilise Google et pour la captation j’utilise Facebook.
Les internautes n’aimant pas la publicité, ont l’extension AdBlock (bloqueur de pubs). En revanche, ceux qui ne possèdent pas AdBlock ne sont pas dérangés par la publicité et sont donc plus propices à cliquer.
Oui, vu le contexte dans lequel nous évoluons. Nous sommes constamment entourés d’internet et des nouvelles technologies. Nos modes de vie ont changé pour s’adapter à ces nouveaux mode de communication / business et je pense que ça va continuer dans ce sens.
Suivre mes formations 😉
Se former, tester, appliquer, échouer et analyser.
J’ai fait un placement de produits dans le marketing d’influence, avec un investissement de 4000€ et j’ai eu zéro retour sur investissement.
Oui, bien-sûr on peut faire les 2 à la fois ! On peut faire du bon marketing digital sans connaître le marketing classique. J’en suis la preuve vivante.
Le marketing classique est beaucoup plus difficile à mettre en place et difficilement mesurable. Je fais beaucoup de marketing automation.
C’est un moyen de faire beaucoup d’argent sans avoir trop d’investissement de départ.
C’est aussi un moyen de vivre la vie que je veux : je suis indépendant, libre financièrement, temporellement et géographiquement.
Je n’ai pas vraiment d’idée.
Il y a beaucoup d’évolutions à venir, c’est sûr. Quel que soit le domaine, il y a des constantes évolutions, il faudra toujours se former quoi qu’il arrive. L’infoprenariat fonctionnera toujours, mais pas sous la même forme.
Il y a 2/3 ans sous cette forme à mon sens.
Difficile à dire, j’ai déjà du mal à m’imaginer dans 1 an. J’espère être toujours entrepreneur, mais surtout avoir réussi humainement.
J’ai de plus en plus de personnes qui me suivent et des fois, des gens me reconnaissent… Je suis assez mal à l’aise avec ça donc je pense plus exposer mes collaborateurs par la suite ou m’exposer différemment 🙂
Et pour finir, je ne voyage pas beaucoup actuellement en dehors de la France donc j’espère que j’aurai changé cela !
Se former, remise en question permanente, échouer et savoir rebondir, mise en application et savoir s’entourer.
Achetez mes formations, pour savoir tirer les ficelles du marketing digital. Investissez sur vous, c’est le meilleur investissement.
Travaillez pour avoir une bonne trésorerie, puis apprenez à investir. Une fois fait, reproduisez le schéma et monter en gamme. Enfin, Bien s’entourer, est important.
Et voilà !